La vie est un labyrinthe si trouble qu’on ne sait où sont les portes, où sont les murs, où seront les impasses – les couloirs se chevauchent et l’on ne peut jamais tout à fait reculer même quand un pas mal engagé est esquissé. Le temps est à sens unique, lancé dans sa course irréversible vers un point inexistant, aucun geste n’est effaçable même si sa présence invisible demeure enfouie sous l’amas des secondes nouvelles. Et si je pouvais…

Mais pour le peu de dignité qu’il me reste encore, s’il vous plait, ne faites pas de moi une victime devant tout le monde…