Localisation

Événements marquants

Entreprises concernées

Une trentaine d’industries importantes comme Lucchetti et Iansa (aliments), Cervecerías Unidas (bière), Cristalerías Chile (boissons : lait, vin, alcools), Textil Progreso (vêtements), Easton Chile (meubles), Elecmetal (pièces de métal pour les grandes mines et les chemins de fer), Standard Electric (télécommunications, filiale de l’ITT), Vidrios Lirquén (verre), Alusa (emballages flexibles en aluminium) ; l’entreprise participait très intermittente), les Laboratoires Geka (crèmes, désodorisants, dentifrice…) ou Sumar (textile, coton, nylon).

Quelques noms

  • Rafael Kries, dirigeant du cordon [Carmen Silva dans Gaudichaud 2004, 332.]
  • Armando Cruces (Elecmetal), dirigeant du cordon
  • el “Pelao” Aguilar
  • Carlos Mujica (Alusa)
  • Hernán Aguiló militant miriste
  • Pablo Muñoz, interventor de Lucchetti
  • Hernán Pérez de Arce, interventor de Sumar
  • Carmen Silva, militante PS
  • Luís Ahumada, dirigeant étudiant, activiste à Vicuña Mackenna

Ressources documentaires

–––– [2013] Chili 1970-1973. Mille jours qui ébranlèrent le monde, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 339 p.

Sources

La composition de ce cordon industriel Vicuña Mackenna est donnée dans Gaudichaud 2004, 172. + 332.

Sur Alusa plus précisément, cf. le témoignage de Carlos Mujica dans Gaudichaud 2004, 135 et s.

Sur les laboratoires Geka  : cf. “Gran triunfo de Geka y Cordón Vicuña Mackenna”, La Aurora de Chile n°27, 24/06/1973, 2.

Note

  1. Notamment les témoignages de Juan Alarcón (Sumar) [89-110], Carlos Mujica (Alusa) [135-155], Mario Olivares (Easton Chile) [157-182], Luís Ahumada [295-314], Carmen Silva [331-339]