Recension (sans doute lacunaire) des écrits publiés à l’occasion des commémorations des quarante ans du 11 septembre 1973 au Chili.

Livres

Nouveautés

ALLENDE Isabel1, Chili, un road movie sur les traces de Salvador Allende, Privat, 144 p., 33€

ARCE Luz, [1993] L’enfer, Les Petits matins, 352 p., 19€

CASTILLO Eduardo, Chili, 11 septembre 1973 : La Démocratie assassinée, Le serpent à plumes, 246 p., 12,5€

FERMANDOIS Joaquín, La revolución inconclusa. La izquierda chilena y el gobierno de la Unidad Popular, Chile, Santiago de Chile, CEP, 850 p.

GAUDICHAUD Franck, Venceremos, le pouvoir populaire chilien (1970-1973), éd. Syllepses, 9,5€

GAUDICHAUD Franck, Chili 1970-1973. Mille jours qui ébranlèrent le monde, P. U. Rennes, 350 p., 19€2

PERÉZ Cristian, Vidas revolucionarias, Chile, Santiago de Chile, CEP, 437 p.

Rééditions

FONTAINE TALAVERA Arturo et GONZÁLEZ PINO Miguel (éd.), [1997] Los mil días de Allende, vol. 1 et 2, Chile, Santiago de Chile, CEP, 338 p.

HUCHON Thomas, [2003] Salvador Allende – l’enquête intime, Eyrolles.

Articles

CHAOUAD Robert, « 1973-2013, la résonance des temps », Revue internationale et stratégique, 2013/3 n° 91, pp. 63-69.

COMPAGNON Olivier, « Chili, 11 septembre 1973. Un tournant du XXe siècle latino-américain, un événement-monde », Revue internationale et stratégique, 2013/3 n° 91, p. 97-105. DOI : 10.3917/ris.091.0097

Article initialement publié le 19 août 2013 ; mis à jour le 26 février 2014.

Notes

  1. La sœur de Salvador Allende et sénatrice chilienne, pas l’écrivaine
  2. Notons tout de même que le choix du titre du livre, adaptation de sa thèse d’histoire, est assez trompeur. “Les mille jours qui ébranlèrent le monde” pourrait laisser croire au lecteur un peu pressé qu’il va acheter une fresque politique sur les …mille jours de la présidence de Salvador Allende, et ses répercussions internationales, alors que le propos (très intéressant et sérieux) est centré sur le pouvoir populaire et les cordons industriels durant cette époque, sujet beaucoup plus local et pointu que ne le laisse entendre ce titre. La quatrième de couverture est néanmoins tout à fait honnête et décrit très bien le contenu du livre. Mais alors pourquoi un tel titre dans lequel il fallait au moins « pouvoir populaire » ou « cordons industriels »?