Mais aujourd’hui un cadre est venu voir ce qui se passe, sans doute alerté par des camarades. La question est posée de savoir pourquoi le cours ne tient pas ses promesses, pourquoi tant de personnes l’ont quitté, pourquoi aucun progrès ne semble se dessiner. Certains répondent : les conditions matérielles, le temps que leur laisse leur travail, sans compter le temps passé à des activités volontaires, les difficultés pour venir, mille sollicitations de la vie quotidienne, la famille, les enfants. D’autres essayent de placer que, peut-être, les cours sont un peu trop élitistes et ne correspondent pas à l’attente ou aux capacités des camarades.
Les applaudissements fleurissent, le formateur en tête, tout heureux que rien ne lui soit reproché, à lui, car l’idée d’élitisme est passée à la trappe. Et moi qui trouve qu’on ne fait rien, « élitisme »…