23h40. Juan. Santiago.

J’aurais très envie d’appeler Augusto pour savoir ce qu’il va faire. Va-t-il aller jusqu’au bout, se rebeller, fuir le pays en même temps que ses responsabilités ? Etait-il dans l’avion à la place de Jean ? Mais il faut le laisser seul. S’il ne m’appelle pas, je le laisse pour une dernière fête avec ses doutes, ses ambitions, ses peurs, ses fantômes, ses réflexions, ses responsabilités… Pauvre Augusto. D’ici là j’ai un appel angoissant à passer.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *