Sommaire ToggleUne tragédie en marcheSommaire de la 1ère partie – subdivision BSuite du post-romanCoupables réversibles Plongés dans un Bain d’Innocence Une tragédie en marche La balle qui va me tuer a déjà un nom. Maintenant, ce dont il s’agit c’est d’obtenir que ce qui nous attend ait le moindre coût possible pour la gauche.Salvador Allende, le 8 septembre 1973, cité dans Montes Larrain 1982, 99-100. D’un côté, les commandements constitutionnel et légal, les notions militaires de discipline et l’obéissance à l’autorité militaire et civile, avaient été ses Evangiles pendant quarante ans.D’un autre côté, la rupture avec les compagnons d’une vie entière, l’incompréhension de la famille militaire, la possible perte du commandement suprême, et, plus que tout, la guerre civile.Il était probable que – en cas de non-adhésion au coup d’Etat [de sa part] – il pût gagner à Santiago, tandis que les rebelles eurent été vainqueurs à Valparaíso, Concepción et Punta Arenas.Augusto Pinochet aurait été le « général Rouge » de l’Unité populaire ; (…) Et des milliers, peut-être des centaines de milliers, ou un million, comme le prévoyait Prats, de Chiliens seraient morts.Gonzalo Vial, Pinochet. La biografía, Tome I, 212-213. Sommaire de la 1ère partie – subdivision B Préambule Suite du post-roman XIV. Se recentrer XV. Aux hommes de bonne volonté XVI. Agitations XVII. Chaises dismusicales XVIII. On ne tiendra pas trois ans encore ! XIX. Un rendez-vous Coupables réversibles Plongés dans un Bain d’Innocence ← | →