Sommaire

Cor. 1. XVIII §11§12§13

Sources

§11

Eduardo Frei baisse la tête sans rien dire lorsque Carlos Prats, alors ex-général, lui déclare qu’il est la dernière personne à pouvoir empêcher le coup d’Etat : González 2000, 298.

Résultats de la réunion de l’Unité Populaire qui refuse toutes les propositions d’Allende et ne lui donne aucune solution : Israel Zipper 2006, 291 qui cite lui-même Joan Garcés dans Allende y la experiencia chilena [1976], Barcelona, Ariel, 338.

Sur le projet d’Assemblée constituante proposé par Orlando Millas : González 2000, 292.

Sur l’aspect très violent des déclarations de Bosco Parra, on consultera pour s’en convaincre le livre de Patricia Arancibia Clavel, Los Orígenes de la Violencia Política en Chile 1960 – 1973 (2001).

Sur l’ensemble de la réunion la réunion de l’UP : González 2000, 293-294. Le retard du PS est narré par Vial 2002, 206, alors que González n’en parle pas.

Sur la proposition de Prats conseillant à Allende de démissionner et la réaction de ce dernier : Prats 1973.

« On respirait le drame [qui] était imminent » : c’est ce que confia Víctor Pey à Monica González, González 2000, 301.

§12

Pinochet devait aller à un mariage mais n’avait pas envie: González 2000, 303.

Document

Cf. La solution de Carlos Prats pour sortir de l’impasse